Les Rossignols de l’Ouest

Dans le cadre de Noël au Théâtre

Avec une approche résolument moderne, humoristique et décalée, ce spectacle nous invite à découvrir le style a cappella du barbershop, mêlant Far West, negro spiritual et jazz.

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Pour hériter du ranch familial, quatre frères doivent trouver l’amour. Pour cela, ils devront cesser d’être sales, malpolis, bagarreurs et bêtes. La mission est loin d’être gagnée mais ils ont un don : la chanson.

Les Rossignols de l’Ouest adapte une certaine facette de la culture des États-Unis au tournant du 20ème siècle en une exploration ethno-socio-musico-historique de diverses musiques populaires américaines : pop, swing, blues, country, gospel, work-song, comédies musicales, classiques de Disney…

Le Barbershop, vous connaissez ?

Voilà plus de cent ans que ce style vocal est né aux Etats-Unis dans la boutique de quelques barbiers qui accueillaient des clients aimant pousser la chansonnette, en les harmonisant. Ils vous invitent au voyage et aux couleurs du Barbershop, une musique apparue au début du 20e siècle dans certains salons de coiffures américains, lieux de réunion informelles par excellence durant une époque majeure d’immigration. Le Barbershop, c’est de l’inattendu, du burlesque, du mime, des bruitages et un délire humoristique vocal. Le style d’harmonie appelé « Barbershop » codifié durant l’époque de son renouveau – de 1940 à aujourd’hui – est un style a cappella autrement dit, de musique vocale non accompagnée qui a une origine afro-américaine et est liée au gospel.

DISTRIBUTION & partenaires de la cie
Mise en scène : Matthieu COLLARD
Costume et scénographie : Catherine TILMAN
Photographie : Nathalie FRENET
Voix lead : François LOURTIE
Voix basse : David SERRAZ
Voix baryton : Emmanuel DONNET
Voix ténor : Leander MOENS
Photo : Nathalie FRENNET

PRESSE
Et le terme « enrichir » est faible pour désigner les harmonies à l’œuvre dans ce cas, mouvantes, serrés, inscrites dans un enchaînement ininterrompu de tensions, de frottements, de notes sensibles, etc., jusqu’aux résolutions salvatrices, et requérant de la part des chanteurs – toujours a cappella (pas de piano chez les coiffeurs) et toujours de mémoire – une écoute et une justesse infaillibles.
Martine D.Mergeay, La Libre 

Durée : 50 min.